Pour le 20 mai et le défi 221, Zaza nous propose de concocter une petite histoire « zazatesque », et nous dit : « faites travailler vos méninges, vous connaissez mon esprit déjanté ! »
Chacun sait que Zaza est inimitable dans ses récits, toutefois à un retour de vacances, je me suis lancée rapidement et modestement dans un essai dont je ne garantis pas qu’il soit « zazatesque » !
Les deux inspecteurs Quicesqui et Quisaiquoi, épuisés par des nuits sans sommeil à la poursuite depuis des mois, de Zouzou dit le fou, avaient fini par atterrir dans ce qui leur semblait être l’hôtel dans lequel ils avaient réservé une seule chambre, afin de réduire les frais, ces derniers leur étant remboursés avec parcimonie par leur chef . Le dit chef, lui de son côté ne se gênait pas pour sucrer au passage, en plus des fraises qu’il adorait, les notes de ses collaborateurs pour mettre l’excédent dans sa poche.
Ceci n’étant pas le propos de notre histoire, revenons à cette arrivée dans une nuit profonde, et à la recherche de l’hôtel dans une forêt fantasmagorique . On a beau être inspecteur, il arrive que parfois on claque des dents lorsque des ombres menaçantes ont l’air de fondre sur vous. Après avoir tourné des heures en ronds, Quicesqui et Quisaiquoi, finirent par trouver une entrée de bâtiment. Leur chambre leur avait été signalée comme étant située au premier étage et la première porte qu’ils purent ouvrir sans clé, fut pour eux le bon endroit.
Au réveil, l’esprit encore fort embrumé par une immense fatigue, ils se dirigent vers ce qu’ils supposent être la salle du petit déjeuner, pour prendre quelques forces. Le souffle coupé dès les premiers pas dans le couloir, ils regardent ébahis un va et vient de personnes toutes vêtues d’un peignoir d’un blanc immaculé et qui se déplacent en silence.
Quicesqui et Quisaiquoi se regardent interloqués et effrayés en même temps. Dans la nuit auraient-ils confondus l’asile psychiatrique où s’est réfugié Zouzou dit le fou, avec l’hôtel ? Les deux bâtiment étant situés à quelques mètres seulement l’un de l’autre, ont-ils pu se tromper ainsi ?
Vous le saurez demain…ou pas, en lisant la suite de ce feuilleton.
histoire hautement zazatesque ! juste que dans un asile psy, il faut que tu sonnes pour entrer ... et on te fait attendre longtemps quelquefois.<br />
Et je me suis souvenu en lisant le premier paragraphe que pour un stage, nous mangions des sandwichs dans un coin agréable et que mon supérieur se faisait rembourser des repas au restaurant .. pour lui et moi. C'était il y a longtemps et longtemps.<br />
Bises
Rhô mais tu me casses la baraque :-) avec la porte fermée que bien sur je n'imagine pas rester ouverte dans une maison psychiatrique :-)
P
pimprenelle - entrebrumetsoleil
21/05/2019 16:33
Ca ne m'étonne pas de ces deux là et de toi non plus. Ben oui quoi … revenant de thalasso si j'ai bien compris … ton esprit aussi embrumé que celui de Quicestqui et Quicestquoi a rejoint aussitôt Zaza !<br />
Alors, y a-t-il une suite ?<br />
Bisous Eglantine
Bravo Monique ! C'est tout à fait zazatesque !!! Défi magnifiquement relevé ! Mille bravos mais comme les autres, j'attends la suite avec impatience ! <br />
Bonne soirée,<br />
Bisous♥
Une histoire à suspense d'où le sourire n'est pas exclu .. Je doute un peu de l'efficacité des 2 inspecteurs , à retrouver Zouzou. j'attends la suiteBise
Un début de récit à la mode ZAZA, effectivement. Alors maintenant que tu as commencé Monique, il nous faut la suite...<br />
Merci d'avoir répondu présente à ce défi. Bises et bon début de semaine