Embarquement immédiat avec Gisèle pour le défi 250 et pour l'aider à retrouver les couleurs mangées par Croquecolori ! Je te rends ci-dessous celle que j'ai pu récupérer !
Ernest était encore au stade de l’étude de son projet, lorsque son banquier le convoqua pour en discuter un peu à l’improviste[1].
Il consacra une bonne partie de la nuit pour préparer son argumentation et éviter ainsi pour qu’on le prenne pour un jeune homme ignorant et fat. [2] Lors de l’entrevue un peu tendue, un long silence s’installât [3]. La mauvaise foi du banquier étant évidente, Ernest senti monter en lui une grande colère au point d’en pâlir[4]. Il n’était pas question de faire échouer son projet [5] avec des arguments qui ne reposaient sur rien de valable. Il fallait faire redescendre la température qui avait beaucoup monté dans la pièce[6] après cette passe d’arme.
Ernest décida de retrouver son sang-froid afin de ne pas faire échouer sa démarche[7]. C’est cependant d’une voix sans timbre[8] qu’il reprit la parole.
Tout est bien qui finit bien puisqu’il en fin de compte, le banquier lui donna son aval[9] !
Ton texte nous fait toucher du doigt la richesse de la langue française. À partir d’un texte sérieux, une devinette très amusante. Bravo pour cette idée ! Bises.
Excellent Monique , une bien belle façon de nous parler du blanc avec toutes ces expressions judicieusement choisies pour nous faire découvrir la couleur.<br />
Un grand merci pour ta participation.<br />
Bises
Du blanc en veux-tu en voilà... Devoir passer par un banquier pour faire naître un projet, ce fut du sport... il devait se nommer monsieur Leblanc l'homme d'argent ,-) bises, jill