Ce temps, que l’on dit guérisseur de nos peines, l’est-il vraiment ? À défaut de guérir, je veux bien espérer qu’il nous aide et nous apprend à vivre avec.
Un grand merci du plus profond de mon cœur pour vos mots de soutien, vos messages, votre présence que je devine de l’autre côté de mon écran.
Monique
La nuit n’est jamais complète.
La nuit n’est jamais complète.
Il y a toujours, puisque je le dis,
Puisque je l’affirme,
Au bout du chagrin,
Une fenêtre ouverte,
Une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille,
Désir à combler,
Faim à satisfaire,
Un cœur généreux,
Une main tendue,
Une main ouverte,
Des yeux attentifs,
Une vie : la vie à se partager.
Un beau texte qui, je l,espère, t'aidera à voir une lumière au bout du chemin de tes peines.On n'oublie pas, mais le temps atténue le chagrin. Bon courage.Bisous
Un magnifique poème de Paul Eluard puisse - t - il remplir toutes ses fonctions et éclairer cette fenêtre pour que le chagrin puisse s'estomper .<br />
Gros bisous
C'est un poème à lire chaque matin<br />
Hélas Monique on n'en guérit pas de cette absence, on survit avec...et bien forcée on s'adapte<br />
Toutes mes pensées ; je n'oublie pas tout ce que tu m'as apporté quand jean-Claude est parti pour les étoiles<br />
gros gros bisous
Il y a la vie. La vie à partager.<br />
Le temps guérisseur de nos peines ? Peut-être. Mais il y a ceux qui entourent et qui eux aussi ont besoin d'amour. Alors, le donner aide.<br />
Je pense souvent à toi. <br />
Je t'embrasse Monique.
Tu as choisis un très beau poème, oui il y a toujours une lumière au bout du chemin, même si ce chemin est dur a parcourir. J'ose espérer que tu arrives à la voir malgré tout<br />
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Désolée du retard de réponse, j'étais à Genève. Je te souhaite le meilleur possible et beaucoup de présence dans ces moment difficile. Gros bisous
Je crois en effet qu'il y a toujours une fenêtre éclairée comme le dit si joliment Paul Eluard, tout le problème est de la trouver et en attendant prends soin de toi...dur de se retrouver seule quand on a passé tant de temps ensemble. Bisous et bon courage
Je pense beaucoup à toi, à cette nouvelle vie à apprivoiser, à toutes les nouvelles façons de faire que tu vas devoir t'approprier. Tu as ta famille, heureusement, mais devant le deuil chacun se sent seul. C'est sans doute cette solitude que le temps arrive à combattre, avec le quotidien qui va reprendre sa place, vaille que vaille. Je t'embrasse très fort.
Bonsoir Monique, ah oui on le dit, mais il en restera toujours quelque chose, même comme dit Eluard.... je te souhaite la meilleure fin d'année possible, entourée !! Je t'embrasse, jill