Mon amie ton commentaire sur ma 4 e de couverture m'a fait sourire...non je ne me suis pas encore " mise " à écrire le livre bien que .... Mais les analyses ci-dessous de certains aminautes...donnent à réfléchir, vois comme l'histoire peut être complexe ! :-) ce n'est pas une mince affaire cette chaussette trouée!
Le 26/03/2010
Vous vous souvenez certainement, du moins une partie d’entre vous qui faisiez déjà partie de la Communauté « Les croqueurs de mots » que Brunô, désespérant de trouver la bonne édition avait demandé à chacun de nous, de lui raconter la quatrième de couverture du livre que nous détenions et concernant « L’Homme à la chaussette trouée » .

Jeanne Fadosi voit dans la question ci-dessous, un élément important du livre:
Qui sortira vainqueur de ce jeu où l’arbitre est constamment dépassé par l’absence de règle des footeux face à des savateux complètement débordés, mais forts de leur art traditionnel ?
Méditant sur l’éternel retour du trou de chaussette au gros orteil, Manuel Panar, pauvre héritier d’un savetier ruiné, en conclut que le gros orteil est trop épris de liberté pour supporter quelque enfermement.
Fanfan penche plutôt pour un événement liée à la guerre ce qui expliquerait le problème avec les chaussettes trouées:
Caen, 7 juin 1944. Un déluge de fer et de feu s’abat sur la cité de Guillaume le Conquérant. En quelques heures, la ville est rasée, presque rayée de la carte. C’est le chaos, l’apocalypse…
Au milieu des ruines fumantes, du sang, des cris et des larmes, un homme étrange erre. Ses vêtements sont en lambeaux, il n’a plus de chaussures, juste une chaussette trouée au pied gauche. Il ne sait pas où il est ni ce qu’il fait là.
Jean Pierre pense que le Gros orteil avait quelque chose à dire mais que seule la chaussure est au courant :
En passant la tête par le trou de la chaussette, Gros Orteil découvrit un monde nouveau, le monde de l'Homme à la chaussette trouée...
Seule la chaussure sait que la chaussette a un trou à moins de porter des sandales... Par tous les trous, les rats passent. L'homme avait une chaussette trouée.
Brunô malgré tout a une petite idée de l’affaire, voyez plutôt :
Bruno PANARD dans son dernier ouvrage, inspiré de faits authentiques, nous invite à emboîter le pas de quatre personnages hors du commun, dont les destinées ont pour point commun : une chaussette trouée :
L'orteil de Toutanarpions, Le sniper fou, Meurtre du professeur Pied-bot, et deux mites dans un placard.
Krismalo, voit les choses tout a fait autrement pour elle il n’y a pas de doute l’histoire se passe :
- dans la région malouine. Depuis trois mois, cinq crimes affreux ont été découverts. Les victimes, toutes féminines sont retrouvées étranglées, sur différentes plages de la côte d'Émeraude.
Églantine de son coté a un point de vue différent :
L’auteur est l'un des maîtres incontesté de l'univers romanesque et fantastique. Deux êtres, que tout oppose vont peu à peu, apprendre à se connaître, s'apprécier, s'aimer. Une aventure pleine de suspense et de tendresse.
Ce qui m’amène en conclusion à penser que plusieurs auteurs se sont sentis particulièrement concernés par l’histoire de « l’Homme à la chaussette trouée » et que j’ai certainement oublié dans le lot plusieurs autres écrivains, qu’ils veuillent bien me pardonner.
Comme tous les évènements de l’histoire, chacun a une vue différente et nous ne connaitrons jamais, très probablement la vérité.
* J’espère que ceux dont j’ai « piraté » une partie de leur écrit, ne m’en voudront pas.