Texte d'Anne, pour le défi 243 des Croqueurs de Mots. A la Barre Colette Lorsque mon éden s’endort en décembre. Lorsque les pommiers, le poirier, les noisetiers, les cerisiers et le noyer, dépouillés de leurs feuilles, dressent vers les nues leurs membres...
Lire la suiteDéfi 243, Colette à la barre, nous propose: Un petit texte, « Lipogramme» sans A Honorine tu me sembles soucieuse ? Je le suis mon bon Honoré, je le suis ! Et pourquoi donc ? Figure-toi que je dois écrire une chose, qui … Qui quoi , dis-moi donc ! Euh,...
Lire la suite... Et à une certaine jeunesse, qu’il prétend défendre. Je m’étais promise en cette nouvelle année de fuir les chaînes d’informations mais j’ai eu la faiblesse hier après-midi de m’attarder un instant sur l’une d’elles, où vous étiez en train de débattre....
Lire la suitePoème d'Anne pour le jeudi en poésie des Croqueurs de mots, à la commande du navire Colette. L’ennui, c’est un jardin désaffecté et vide, C’est une plaine s’étalant à l’infini, C’est la mer sans oiseaux, sans voiles et sans rides. L’ennui c’est le néant,...
Lire la suiteJeudi en poésie des Croqueurs de mots, à la barre Colette. Ta présence me donne une heure de jeunesse, Il semble que mon mal se ralentit, puis cesse, Car c’est toi mon bonheur et c’est toi ma jeunesse ! Ô parfum de ta robe ! Ô fraîcheur de ton front !...
Lire la suite- Comme les poussières d’une queue de comète, l’année deux mille vingt va se – diluer - dans le temps. - Croyez-moi, nous saurons, du moins pour les plus jeunes, que cela a existé mais l’esprit des uns et des autres, un beau jour (beau, dans le bon sens...
Lire la suiteLa Noël approchait à grands pas mais cette année le cœur n’y était pas pour beaucoup de personnes. Sauf bien entendu, les jeunes enfants qui attendaient le 24 décembre avec impatience. Les évènements de l’année qui venait de s’écouler, ne pouvaient empêcher...
Lire la suitePoème d'Anne, pour le jeudi en poésie des Croqueurs de mots. Il y a des enfants, des créatures étranges Qui cherchent à vous encercler d’ondes énigmatiques. Ils tournent autour de vous comme volent les anges. Leurs gestes font penser à ces rites antiques....
Lire la suitePour le Jeudi en Poésie, sur un thème proposé par JILL Le crapaud noir sur le sol blanc Me fixe indubitablement Avec des yeux plus grands que n’est grande sa tête ; Ce sont les yeux qu’on m’a volés Quand mes regards s’en sont allés, Un soir, que je tournai...
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